Conseil

Optimisez la santé au service du travail

Développement de la santé au travail / Prévention des TMS et des RPS*

Santé et performance

* TMS | Troubles musculosquelettiques 
   RPS | Risques psychosociaux

Pour agir sur

Les coûts directs et indirects liés aux troubles de la santé au travail
Le maintien / développement de la performance, la qualité et la fiabilité
L’absentéisme, le turnover et les difficultés de recrutement

Pour éviter

Un effet contagion par des pathologies issues
du travail (TMS).

Et afin de soutenir

Le management de la prévention de la santé au travail
La marque employeur et l’attractivité de l’entreprise / institution

Quels sont les effets d’un TMS (trouble musculosquelettique) sur la personne et sur l’entreprise ?

Outre les douleurs et les gênes dans les mouvements mais aussi de la raideur, de la maladresse ou une perte de force, les TMS (troubles musculosquelettiques) peuvent entraîner des incapacités et des restrictions au travail ainsi que des limitations dans la vie quotidienne.

Les TMS ont un impact sur la performance de l’entreprise / institution avec de l’absentéisme, de la désorganisation au sein des équipes et une dégradation de l’ambiance de travail, de la perte de productivité et de la perte de qualité.

De même, les TMS peuvent concourir à dégrader l’image de l’entreprise en interne avec l’augmentation des restrictions ou inaptitudes professionnelles ainsi qu’à l’externe avec des difficultés à recruter.

Quels sont les effets des risques psychosociaux (RPS) au niveau d’une entreprise / institution ?

Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité – Dossier Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir. INRS 2024), les RPS (risques psychosociaux) désorganisent l’entreprise / institution et les collectifs de travail avec :

 Une augmentation de l’absentéisme ;
 Une augmentation du turnover ;
 Des difficultés pour remplacer le personnel ;
 Des difficultés pour recruter de nouveaux employés ;
 Une augmentation des accidents du travail ;
 Une démotivation
 Une baisse de créativité ;
 Une dégradation de la productivité ;
 Une augmentation des rebuts ou des malfaçons ;
 Une dégradation du climat social ;
 Une mauvaise ambiance de travail ;
 Des atteintes à l’image de l’entreprise…

Développement de la santé au travail / Prévention des TMS et des RPS*

Santé et performance
* TMS | Troubles musculosquelettiques
RPS | Risques psychosociaux

Pour agir sur

Les coûts directs et indirects liés aux troubles de la santé au travail
Le maintien / développement de la performance, la qualité et la fiabilité
L’absentéisme, le turnover et les difficultés de recrutement

Pour éviter

Un effet contagion par des pathologies issues
du travail (TMS).

Et afin de soutenir

Le management de la prévention de la santé au travail
La marque employeur et l’attractivité de l’entreprise / institution

    Quels sont les effets d’un TMS (trouble musculosquelettique) sur la personne et sur l’entreprise ?

    Outre les douleurs et les gênes dans les mouvements mais aussi de la raideur, de la maladresse ou une perte de force, les TMS (troubles musculosquelettiques) peuvent entraîner des incapacités et des restrictions au travail ainsi que des limitations dans la vie quotidienne.

    Les TMS ont un impact sur la performance de l’entreprise / institution avec de l’absentéisme, de la désorganisation au sein des équipes et une dégradation de l’ambiance de travail, de la perte de productivité et de la perte de qualité.

    De même, les TMS peuvent concourir à dégrader l’image de l’entreprise en interne avec l’augmentation des restrictions ou inaptitudes professionnelles ainsi qu’à l’externe avec des difficultés à recruter.

    Quels sont les effets des risques psychosociaux (RPS) au niveau d’une entreprise / institution ?

    Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité – Dossier Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir. INRS 2024), les RPS (risques psychosociaux) désorganisent l’entreprise / institution et les collectifs de travail avec :

     Une augmentation de l’absentéisme ;
     Une augmentation du turnover ;
     Des difficultés pour remplacer le personnel ;
     Des difficultés pour recruter de nouveaux employés ;
     Une augmentation des accidents du travail ;
     Une démotivation
     Une baisse de créativité ;
     Une dégradation de la productivité ;
     Une augmentation des rebuts ou des malfaçons ;
     Une dégradation du climat social ;
     Une mauvaise ambiance de travail ;
     Des atteintes à l’image de l’entreprise…

    Conception / aménagement des espaces et lieux de travail

    Conception et aménagement raisonnés

    Pour agir sur

     Les facteurs de pénibilité
     Les risques de maladies professionnelles
     Les risques d’accidents du travail

    Afin d’offrir les meilleures conditions pour

     Les flux
     La communication
     Les évolutions de production ou de services
     Les changements de produits ou de services
     La fiabilité

    Et également pour sécuriser

     La performance, la qualité
     L’utilisation des équipements et des machines
     Les choix de conception
     Les choix d’investissement

    Pourquoi aménager les espaces de travail ?

    Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité – Brochures ED 6096, ED 773, ED 950), aménager le plus en amont possible des espaces de travail permet d’éviter l’apparition de situations de travail qui s’avèreront ensuite complexes et coûteuses à corriger, voire néfastes pour la santé au travail.

    L’aménagement des espaces de travail est au service de la prévention des risques professionnels et de l’amélioration des conditions de travail en permettant une mise en conformité réglementaire par le respect des normes et recommandations.

    Quel rôle peut jouer l’ergonome dans l’aménagement des espaces de travail ?

    Par expérience et en se référant aux travaux de l’INRS (Brochure ED 950), le rôle de l’ergonome permet de :

    Mettre en lumière les contraintes et les atouts en présence, avant les changements, afin d’aider à la projection dans les situations de travail et/ou d’utilisation futures ;
    Affiner le besoin tout au long du projet en questionnant les choix avant la prise de décision finale ;
    Faire « jouer » les différents projets d’implantation et les usages / utilisations possibles pour définir les futurs plans au service de travail, de la performance, de la santé des collaborateurs, de la fiabilité des process, des procédures, de la facilité d’usage pour les travailleurs et les bénéficiaires ;
    Etudier les usages actuels et accompagner l’innovation en explorant les besoins de demain (prototypage, simulation, tests …).

    Conception / aménagement des espaces et lieux de travail

    Concéption et aménagement raisonnés

    Pour agir sur

     Les facteurs de pénibilité
     Les risques de maladies professionnelles
     Les risques d’accidents du travail

      Afin d’offrir les meilleures conditions pour

       Les flux
       La communication
       Les évolutions de production ou de services
       Les changements de produits ou de services
       La fiabilité

        Et également pour sécuriser

         La performance, la qualité
         L’utilisation des équipements et des machines
         Les choix de conception
         Les choix d’investissement

        Pourquoi aménager les espaces de travail ?

        Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité – Brochures ED 6096, ED 773, ED 950), aménager le plus en amont possible des espaces de travail permet d’éviter l’apparition de situations de travail qui s’avèreront ensuite complexes et coûteuses à corriger, voire néfastes pour la santé au travail.

        L’aménagement des espaces de travail est au service de la prévention des risques professionnels et de l’amélioration des conditions de travail en permettant une mise en conformité réglementaire par le respect des normes et recommandations.

        Quel rôle peut jouer l’ergonome dans l’aménagement des espaces de travail ?

        Par expérience et en se référant aux travaux de l’INRS (Brochure ED 950), le rôle de l’ergonome permet de :

        Mettre en lumière les contraintes et les atouts en présence, avant les changements, afin d’aider à la projection dans les situations de travail et/ou d’utilisation futures ;
        Affiner le besoin tout au long du projet en questionnant les choix avant la prise de décision finale ;
        Faire « jouer » les différents projets d’implantation et les usages / utilisations possibles pour définir les futurs plans au service de travail, de la performance, de la santé des collaborateurs, de la fiabilité des process, des procédures, de la facilité d’usage pour les travailleurs et les bénéficiaires ;
        Etudier les usages actuels et accompagner l’innovation en explorant les besoins de demain (prototypage, simulation, tests …).

        Déclinaison de l’organisation au travail

        Organisation, développement d’entreprise

        Pour développer

         Les coopérations au service du travail
         Les facteurs humains, les ressources humaines
         La construction de compromis opératoires

        Et pour faciliter

        L’intégration des nouveaux collègues
        La circulation des savoir-faire stratégiques et habiletés professionnelles

        Qu’entend-on par organisation du travail ?

        L’organisation du travail peut s’entendre comme l’ensemble de règles et procédures qui définissent, précisent, structurent, répartissent, et coordonnent le travail dans une visée d’efficacité en fonction des objectifs de production avec des moyens pour atteindre ces objectifs (Eric Barangier et Gérard Valléry, « Ergonomie : 150 notions clés »,).

        Pourquoi je m’intéresse à l’organisation du travail en tant qu’ergonome?

        L’ergonome étudie les liens entre l’organisation et les réalités du travail pour en connaître les effets sur la santé et la performance. Il est aussi question d’étudier l’adéquation entre les moyens et les savoir-faire, les risques, les contraintes et les ressources, les atouts permettant de repérer l’impact de nouvelles technologies dans l’environnement de travail.  (Eric Barangier et Gérard Valléry, « Ergonomie : 150 notions clés »,)

        Déclinaison de l’organisation au travail

        Organisation, développement d’entreprise

        Pour développer

         Les coopérations au service du travail
         Les facteurs humains, les ressources humaines
         La construction de compromis opératoires

          Et pour faciliter

          L’intégration des nouveaux collègues
          La circulation des savoir-faire stratégiques et habiletés professionnelles

            Qu’entend-on par organisation du travail ?

            L’organisation du travail peut s’entendre comme l’ensemble de règles et procédures qui définissent, précisent, structurent, répartissent, et coordonnent le travail dans une visée d’efficacité en fonction des objectifs de production avec des moyens pour atteindre ces objectifs (Eric Barangier et Gérard Valléry, « Ergonomie : 150 notions clés »,).

            Pourquoi je m’intéresse à l’organisation du travail en tant qu’ergonome?

            L’ergonome étudie les liens entre l’organisation et les réalités du travail pour en connaître les effets sur la santé et la performance. Il est aussi question d’étudier l’adéquation entre les moyens et les savoir-faire, les risques, les contraintes et les ressources, les atouts permettant de repérer l’impact de nouvelles technologies dans l’environnement de travail. (Eric Barangier et Gérard Valléry, « Ergonomie : 150 notions clés »,)

            Conduite de projets en qualité de vie et des conditions de travail (QVT-QVCT)

            Qualité du travail, qualité de vie, innovation et prévention

            Pour piloter de façon différente et complémentaire

            La performance et la fiabilité
            La santé au travail
            L’engagement au travail

              Et pour soutenir

              Une prévention ancrée dans la réalité du travail
              La création de valeurs
              L’innovation sociale

                Afin de co-construire

                Des solutions innovantes adaptées aux enjeux de l’entreprise / institution et des personnes

                Quels sont les 6 thèmes de QVT portés par l’ANACT (Agence Nationale d’Amélioration des Conditions de Travail) ?

                Les 6 thématiques de QVT promues par l’ANACT portent sur :

                Le contenu du travail ;
                La santé au travail ;
                Les compétences, les parcours professionnels ;
                L’égalité professionnelle ;
                Le management, l’engagement ;
                Les relations au travail, le climat social.

                Par où, par quoi commencer dans un projet sur la QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de travail) ?

                Une évaluation à partir sur les 6 thèmes proposés par l’ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) peut être une bonne entrée en matière pour identifier si les points de vue et les priorités sont partagés au sein de l’entreprise / institution. Ainsi, cette évaluation permet de repérer les divergences d’opinions, les consensus et donc de prioriser le ou les besoins sur le / les sujets qui semblerait(ent) le(s) plus important(s) pour engager une dynamique de projet de la QVT – QVCT au service du travail et de la santé au travail.

                Conduite de projets en qualité de vie et des conditions de travail (QVT-QVCT)

                Qualité du travail, qualité de vie, innovation et prévention

                Pour piloter de façon différente et complémentaire

                La performance et la fiabilité
                La santé au travail
                L’engagement au travail

                  Et pour soutenir

                  Une prévention ancrée dans la réalité du travail
                  La création de valeurs
                  L’innovation sociale

                    Afin de co-construire

                    Des solutions innovantes adaptées aux enjeux de l’entreprise / institution et des personnes

                    Quels sont les 6 thèmes de QVT portés par l’ANACT (Agence Nationale d’Amélioration des Conditions de Travail) ?

                    Les 6 thématiques de QVT promues par l’ANACT portent sur :

                    Le contenu du travail ;
                    La santé au travail ;
                    Les compétences, les parcours professionnels ;
                    L’égalité professionnelle ;
                    Le management, l’engagement ;
                    Les relations au travail, le climat social.

                    Par où, par quoi commencer dans un projet sur la QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de travail) ?

                    Une évaluation à partir sur les 6 thèmes proposés par l’ANACT (Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail) peut être une bonne entrée en matière pour identifier si les points de vue et les priorités sont partagés au sein de l’entreprise / institution. Ainsi, cette évaluation permet de repérer les divergences d’opinions, les consensus et donc de prioriser le ou les besoins sur le / les sujets qui semblerait(ent) le(s) plus important(s) pour engager une dynamique de projet de la QVT – QVCT au service du travail et de la santé au travail.

                    Accompagnement des projets de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)

                    Accompagnement au changement et innovation sociétale

                    Pour identifier

                    Les enjeux imperceptibles des effets d’un projet RSE sur les transformations du travail (écart entre le travail prescrit et le travail réel)

                     

                      Et pour tenir compte

                      Des effets induits de la mise en place du projet de RSE sur les conditions de travail et de potentielles dégradations
                      Des transformations du travail et le besoin de déploiement de nouvelles stratégies opératoires (écart entre le travail prescrit et le travail réel)

                        Afin de soutenir

                        L’engagement des entreprises/institutions dans leurs projets de RSE
                        La dynamique de changement et réduire les risques de résistance
                        L’innovation au service de la performance et de la santé
                        L’image de l’entreprise

                          Quels sont les enjeux de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ?

                          Le projet initial de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) est de prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux des activités de l’entreprise en développant une vision à long terme au service des dimensions :

                          Sociales avec un impact positif sur la société ;
                          Environnementales pour en promouvoir le respect ;
                          Économiques pour une entreprise viable.

                          La norme ISO 26 000 promue en 2010 précise quant à elle 7 piliers pour la RSE, à savoir :

                          La gouvernance de l’organisation ;
                          Les droits de l’homme ;
                          Les relations et conditions de travail ;
                          L’environnement ;
                          La loyauté des pratiques ;
                          La protection des consommateurs ;
                          La promotion des communautés et du développement local.

                          Accompagnement des projets de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)

                          Accompagnement au changement et innovation sociétale

                          Pour identifier

                          Les enjeux imperceptibles des effets d’un projet RSE sur les transformations du travail (écart entre le travail prescrit et le travail réel)

                            Et pour tenir compte

                            Des effets induits de la mise en place du projet de RSE sur les conditions de travail et de potentielles dégradations
                            Des transformations du travail et le besoin de déploiement de nouvelles stratégies opératoires (écart entre le travail prescrit et le travail réel)

                              Afin de soutenir

                              L’engagement des entreprises/institutions dans leurs projets de RSE
                              La dynamique de changement et réduire les risques de résistance
                              L’innovation au service de la performance et de la santé
                              L’image de l’entreprise

                                Quels sont les enjeux de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ?

                                Le projet initial de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) est de prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux des activités de l’entreprise en développant une vision à long terme au service des dimensions :

                                Sociales avec un impact positif sur la société ;
                                Environnementales pour en promouvoir le respect ;
                                Économiques pour une entreprise viable.

                                La norme ISO 26 000 promue en 2010 précise quant à elle 7 piliers pour la RSE, à savoir :

                                La gouvernance de l’organisation ;
                                Les droits de l’homme ;
                                Les relations et conditions de travail ;
                                L’environnement ;
                                La loyauté des pratiques ;
                                La protection des consommateurs ;
                                La promotion des communautés et du développement local.

                                Soutien de l’emploi des personnes en situation de handicap

                                Inclusion, insertion et maintien dans l’emploi

                                Pour limiter

                                Les inaptitudes et les restrictions professionnelles
                                La perte des compétences au sein de l’entreprise / institution

                                  Et pour développer

                                  Des solutions ajustées aux besoins de la personne
                                  Les conditions de travail de l’ensemble des collègues directs au sein d’une équipe dont un des membres est en situation de handicap

                                    Quelles sont les différentes formes de handicap ?

                                    Le handicap peut être évolutif, temporaire ou définitif. La loi de 2005 reconnaît 5 grandes familles de handicap :

                                    Le handicap moteur ;
                                    Le handicap mental ;
                                    Le handicap psychique ;
                                    Le handicap cognitif ;
                                    Le handicap sensoriel.

                                    Comment conjuguer handicap et travail ?

                                    Les entreprises d’au moins 20 salariés ont l’obligation d’embaucher des personnes ayant une reconnaissance de travailleurs handicapés (6% de l’effectif de l’entreprise).

                                    Outre l’obligation légale, il existe des solutions pour la compensation du handicap afin de soutenir l’intégration ou le maintien en emploi des personnes en situation de handicap.

                                    De même, le projet peut être d’améliorer l’ensemble des conditions de travail d’une équipe, en tenant compte du handicap d’un de ses membres mais aussi en repérant ses  atouts pour le travail, ses savoir-faire ; tout en identifiant en parallèle les contraintes et les ressources des autres membres de l’équipe.

                                    Ainsi, au lieu de vouloir que chaque membre de l’équipe fasse exclusivement la même chose, le projet santé – performance – qualité – fiabilité proposé est alors de développer une organisation du travail permettant à chacun de :

                                    ■  Développer ses compétences au service de l’équipe, du travail, de la production, du développement de l’entreprise / institution ;
                                    ■  Travailler en tenant compte de ses habiletés, ses savoir-faire, ses évolutions de santé (effets du vieillissement, de la fatigue et potentiellement de l’usure).

                                    A moyen terme, cette dynamique d’entraide permet de s’adapter aux évolutions du marché (organisation agile) en maintenant et développant ses compétences en interne.

                                    Soutien de l’emploi des personnes en situation de handicap

                                    Inclusion, insertion et maintien dans l’emploi

                                    Pour limiter

                                    Les inaptitudes et les restrictions professionnelles
                                    La perte des compétences au sein de l’entreprise / institution

                                      Et pour développer

                                      Des solutions ajustées aux besoins de la personne
                                      Les conditions de travail de l’ensemble des collègues directs au sein d’une équipe dont un des membres est en situation de handicap

                                        Quelles sont les différentes formes de handicap ?

                                        Le handicap peut être évolutif, temporaire ou définitif. La loi de 2005 reconnaît 5 grandes familles de handicap :

                                        Le handicap moteur ;
                                        Le handicap mental ;
                                        Le handicap psychique ;
                                        Le handicap cognitif ;
                                        Le handicap sensoriel.

                                        Comment conjuguer handicap et travail ?

                                        Les entreprises d’au moins 20 salariés ont l’obligation d’embaucher des personnes ayant une reconnaissance de travailleurs handicapés (6% de l’effectif de l’entreprise).

                                        Outre l’obligation légale, il existe des solutions pour la compensation du handicap afin de soutenir l’intégration ou le maintien en emploi des personnes en situation de handicap.

                                        De même, le projet peut être d’améliorer l’ensemble des conditions de travail d’une équipe, en tenant compte du handicap d’un de ses membres mais aussi en repérant ses  atouts pour le travail, ses savoir-faire ; tout en identifiant en parallèle les contraintes et les ressources des autres membres de l’équipe.

                                        Ainsi, au lieu de vouloir que chaque membre de l’équipe fasse exclusivement la même chose, le projet santé – performance – qualité – fiabilité proposé est alors de développer une organisation du travail permettant à chacun de :

                                        ■  Développer ses compétences au service de l’équipe, du travail, de la production, du développement de l’entreprise / institution ;
                                        ■  Travailler en tenant compte de ses habiletés, ses savoir-faire, ses évolutions de santé (effets du vieillissement, de la fatigue et potentiellement de l’usure).

                                        A moyen terme, cette dynamique d’entraide permet de s’adapter aux évolutions du marché (organisation agile) en maintenant et développant ses compétences en interne.

                                        Pilotage interne de la prévention

                                        Mise en conformité et innovation

                                        Pour contrecarrer

                                        Le manque de fonctions supports dédiées aux questions de prévention des risques professionnels en entreprise

                                          Pour structurer la prévention des risques professionnels

                                          En tenant compte de la charge de travail des dirigeants et de leurs différentes obligations
                                          En organisant son suivi et son animation

                                            Et afin de soutenir

                                            Le dialogue sur le travail pour en partager les attendus
                                            L’innovation au service de la performance et de la santé
                                            La montée en compétences des équipes
                                            La mise en conformité concernant l’obligation légale des entreprises

                                              Que dit la loi en termes de prévention des risques professionnels ?

                                              Le Code du travail (art. L. 4644-1 et R. 4644-1) fait obligation à l’employeur de désigner un ou plusieurs salariés compétents pour s’occuper de la protection et de la prévention des risques professionnels de l’entreprise. Si les entreprises ne peuvent pas avoir en interne les compétences pour organiser ces activités, l’employeur peut faire appel à un IPRP (Intervenant en Prévention des Risques Professionnels) référencé par la DREETS (Direction Régionale de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités) disposant de compétences dans le domaine de la prévention des risques professionnels et de l’amélioration des conditions de travail.

                                              Quelle est la répartition des coûts directs et indirects liés à des maladies professionnelles ?

                                              Les coûts indirects de la dégradation de la santé au travail, intégralement portés par l’entreprise, seraient 6 à 8 fois plus importants que les coûts directs pouvant être mutualisés par les cotisations des branches professionnelles (CISME – Centre Interservices de Santé Médecine Entreprise, Juin 2015).

                                               

                                              Pilotage interne de la prévention

                                              Mise en conformité et innovation

                                              Pour contrecarrer

                                              Le manque de fonctions supports dédiées aux questions de prévention des risques professionnels en entreprise

                                                Pour structurer la prévention des risques professionnels

                                                En tenant compte de la charge de travail des dirigeants et de leurs différentes obligations
                                                En organisant son suivi et son animation

                                                  Et afin de soutenir

                                                  Le dialogue sur le travail pour en partager les attendus
                                                  L’innovation au service de la performance et de la santé
                                                  La montée en compétences des équipes
                                                  La mise en conformité concernant l’obligation légale des entreprises

                                                    Que dit la loi en termes de prévention des risques professionnels ?

                                                    Le Code du travail (art. L. 4644-1 et R. 4644-1) fait obligation à l’employeur de désigner un ou plusieurs salariés compétents pour s’occuper de la protection et de la prévention des risques professionnels de l’entreprise. Si les entreprises ne peuvent pas avoir en interne les compétences pour organiser ces activités, l’employeur peut faire appel à un IPRP (Intervenant en Prévention des Risques Professionnels) référencé par la DREETS (Direction Régionale de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités) disposant de compétences dans le domaine de la prévention des risques professionnels et de l’amélioration des conditions de travail.

                                                    Quelle est la répartition des coûts directs et indirects liés à des maladies professionnelles ?

                                                    Les coûts indirects de la dégradation de la santé au travail, intégralement portés par l’entreprise, seraient 6 à 8 fois plus importants que les coûts directs pouvant être mutualisés par les cotisations des branches professionnelles (CISME – Centre Interservices de Santé Médecine Entreprise, Juin 2015).

                                                    Discutons ensemble de votre projet

                                                    BD-Ergonomie, des prestations adaptées à vos besoins en fonction de l’avancement dans votre réflexion.

                                                    11 + 15 =

                                                    Impasse de la Chanterelle 85300 CHALLANS
                                                    Rue de la Gare 85260 L’HERBERGEMENT

                                                    06 25 56 93 21

                                                    contact@bdergonomie.com

                                                    Discutons ensemble de votre projet

                                                    BD-Ergonomie, des prestations adaptées à vos besoins en fonction de l’avancement dans votre réflexion.

                                                    14 + 2 =

                                                    Impasse de la Chanterelle 85300 CHALLANS | Rue de la Gare 85260 L'HERBERGEMENT

                                                    06 25 56 93 21

                                                    contact@bdergonomie.com